
Tarifs préférentiels pour les adhérents 6,40 € - Tarif normal : 9,90€, tarif réduit : 7,30 €
Dimanches du Mermoz - un dimanche matin par mois - participation libre (voir programme)
Tout sur ma mère vendredi 18/10 à 14h et dimanche 20/10 à 18h20
Ciné classique
dimanche 20 octobre à 18h20
vendredi 18 octobre à 14h
Tout sur ma mère ( Almodovar 1999)
Le jour de ses 17 ans, Manuela emmène son fils Esteban voir Huma Roja dans Un Tramway nommé désir. A la fin de la pièce, mère et fils attendent la sortie de la vedette pour demander un autographe. En courant après la voiture de son idole, l’adolescent se fait renverser par une voiture. Manuela, dévastée par la mort de son fils, fuit Madrid et part pour Barcelone, retrouver son passé.
Le chef d'oeuvre d'Almodovar a obtenu
Le prix de la mise en scène Cannes 1999
Le César 2000 du meilleur film étranger
3 prix aux Goya et le prix du meilleur film étranger aux Oscars
"Sensible, intelligent, plein d'humour, plein d'amour, habilement osé, finement construit, savamment contrasté, joliment mis en scène, émouvant, lucide, moderne, inspiré..."
"Son meilleur opus d'une filmographie pourtant riche est un mélo flamboyant digne d'un Douglas Sirk."
"C'est magistral et drôle, essentiel et léger, humble et ambitieux. C'est unique."
"Tout sur ma mère est un film essentiel, un torrent d'amour fou"
"Almodovar nous offre peut-être là son film le plus parfait, en réunissant à peu près toujours les même ingrédients épicés, la même galerie d'énergumènes excité(e)s (...) mais cette fois, il les dispatche autrement sur la carte de la tendresse humaine."
Pedro Almodovar à propos de ce film:
"Dans la dédicace finale, je cite trois de celles qui m'ont produit les émotions les plus fortes : la Gena Rowlands de Opening Night, la Bette Davis de All about Eve et la Romy Schneider de L'important c'est d'aimer. L'esprit de toutes les trois imprègne de fumée, alcool, désespoir, folie, désir..... les personnages de Tout sur ma mère."
dimanche 20 octobre à 18h20
vendredi 18 octobre à 14h
Tout sur ma mère ( Almodovar 1999)
Le jour de ses 17 ans, Manuela emmène son fils Esteban voir Huma Roja dans Un Tramway nommé désir. A la fin de la pièce, mère et fils attendent la sortie de la vedette pour demander un autographe. En courant après la voiture de son idole, l’adolescent se fait renverser par une voiture. Manuela, dévastée par la mort de son fils, fuit Madrid et part pour Barcelone, retrouver son passé.
Le chef d'oeuvre d'Almodovar a obtenu
Le prix de la mise en scène Cannes 1999
Le César 2000 du meilleur film étranger
3 prix aux Goya et le prix du meilleur film étranger aux Oscars
"Sensible, intelligent, plein d'humour, plein d'amour, habilement osé, finement construit, savamment contrasté, joliment mis en scène, émouvant, lucide, moderne, inspiré..."
"Son meilleur opus d'une filmographie pourtant riche est un mélo flamboyant digne d'un Douglas Sirk."
"C'est magistral et drôle, essentiel et léger, humble et ambitieux. C'est unique."
"Tout sur ma mère est un film essentiel, un torrent d'amour fou"
"Almodovar nous offre peut-être là son film le plus parfait, en réunissant à peu près toujours les même ingrédients épicés, la même galerie d'énergumènes excité(e)s (...) mais cette fois, il les dispatche autrement sur la carte de la tendresse humaine."
Pedro Almodovar à propos de ce film:
"Dans la dédicace finale, je cite trois de celles qui m'ont produit les émotions les plus fortes : la Gena Rowlands de Opening Night, la Bette Davis de All about Eve et la Romy Schneider de L'important c'est d'aimer. L'esprit de toutes les trois imprègne de fumée, alcool, désespoir, folie, désir..... les personnages de Tout sur ma mère."
Pour Sama lundi 14 octobre à 20h30
Les lundis du doc
Lundi 14 octobre à 20h30
Pour Sama de Waad al-Kateab et Edward Watts
Projection suivie d'un débat animé par Jean-Claude Gouze, responsable régional d'Amnesty international

Lorsque la révolution a éclaté en Syrie, en 2011, elle a commencé à filmer, avec son smartphone puis une petite caméra, les manifestations étudiantes et le quotidien dans le quartier d’Alep où elle vivait. Au fil des mois, le soulèvement s’est mué en guerre sans fin. À chaque bombardement, à chaque frappe aérienne, lorsque les blessés, arrivaient à l’hôpital, ils étaient pris en charge par Hamza, jeune médecin urgentiste. Waad et Hamza sont tombés amoureux et se sont mariés. Et leur petite Sama a vu le jour au début de 2016, l’année du terrifiant siège d’Alep.

Le regard de cette jeune femme, ses mots emplis d’humanité et d’amour, sa culpabilité à avoir mis au monde un bébé dans un tel chaos, tout parle au spectateur, emmené par la force des images au cœur de la guerre. Récompensé à Cannes de l’Œil d’or du meilleur documentaire, Pour Sama est une tragédie dont on sort bouleversé et changé.

"C'est un film rare, cru et bouleversant."
"Film politique mais jamais partisan, « Pour Sama » est un témoignage essentiel sur la cruauté de la guerre."
"Pour Sama témoigne de la puissance de la banalité du quotidien, qui parvient à se glisser dans les interstices du chaos guerrier."
Pour Sama Avec Amnesty International

Les lundis du doc
Lundi 14 octobre à 20h30
Pour Sama de Waad al-Kateab et Edward Watts
Projection suivie d'un débat animé par Jean-Claude Gouze, responsable régional d'Amnesty international
"Nous ne pensions pas que le reste du monde permettrait ça..." Cette phrase, terrible, de Waad al-Kateab, ouvre son documentaire.
Lorsque la révolution a éclaté en Syrie, en 2011, elle a commencé à filmer, avec son smartphone puis une petite caméra, les manifestations étudiantes et le quotidien dans le quartier d’Alep où elle vivait. Au fil des mois, le soulèvement s’est mué en guerre sans fin. À chaque bombardement, à chaque frappe aérienne, lorsque les blessés, arrivaient à l’hôpital, ils étaient pris en charge par Hamza, jeune médecin urgentiste. Waad et Hamza sont tombés amoureux et se sont mariés. Et leur petite Sama a vu le jour au début de 2016, l’année du terrifiant siège d’Alep.
Le regard de cette jeune femme, ses mots emplis d’humanité et d’amour, sa culpabilité à avoir mis au monde un bébé dans un tel chaos, tout parle au spectateur, emmené par la force des images au cœur de la guerre. Récompensé à Cannes de l’Œil d’or du meilleur documentaire, Pour Sama est une tragédie dont on sort bouleversé et changé.
"C'est un film rare, cru et bouleversant."
"Film politique mais jamais partisan, « Pour Sama » est un témoignage essentiel sur la cruauté de la guerre."
"Pour Sama témoigne de la puissance de la banalité du quotidien, qui parvient à se glisser dans les interstices du chaos guerrier."

https://www.facebook.com/events/2483948278560454/
Avant-Première Ken Loach
Avant-première dans le cadre de la journée Européenne du cinéma Art et Essai - 13 octobre - 16h
Compétition officielle Cannes 2019

A 82 ans, Ken Loach réussit à parfaitement dessiner les évolutions libérales du marché du travail et leurs dérives aliénantes. Il en profite également pour dépeindre un portrait de ses contemporains avec la justesse dont il a le secret. Le réalisateur doublement palmé (Le Vent se lève, 2006 et Moi, Daniel Blake, 2017) nous parle de son dernier film, Sorry we missed you.

Ricky et Abby vivent à Newcastle et travaillent dur pour offrir une vie correcte à leurs 2 enfants. Abby se dévoue au service de personnes âgées mais Ricky enchaîne les jobs mal payés. Une réelle opportunité semble leur être offerte par la révolution numérique : Ricky achète une camionnette afin de devenir chauffeur-livreur à son compte. Bienvenue dans le monde merveilleux de l'ubérisation!

"La technologie est nouvelle, mais l’exploitation est vieille comme le monde."
"Le marché ne se préoccupe pas de notre qualité de vie. Ce qui l’intéresse, c’est de gagner de l’argent, et les deux ne sont pas compatibles. "
Talons aiguilles dimanche 13 oct à 18h20 et lundi 14 oct à 14h
Ciné classique
Dimanche 13 octobre à 18h20
Lundi 14 octobre à 14h
Talons Aiguilles (Almodovar 1991) (1h53)
avec Victoria Abril, Marisa Paredes, Miguel Bose
Après des années de séparation, une fille retrouve sa mère, célèbre chanteuse des années 1960, partie chercher la gloire au Mexique. Leurs relations passionnées et le retour de la diva sur la scène madrilène sont encore compliqués par le meurtre d’un homme aimé successivement par les deux femmes…
Comme Tout sur ma mère, une petite décennie après, ce film a marqué un cap dans l’œuvre d’Almodóvar : maîtrise du récit, équilibre entre l’humour et le mélodrame. Les « talons éloignés » du titre original sont ceux d’une mère intermittente dont la fille s’est toujours sentie privée. Leurs rapports inextricables, crime passionnel compris, donnent le meilleur du film. Une constante dans l’œuvre d’Almodóvar : les femmes sont rarement des mères ou des filles modèles.
C’est avec ce film qu’Almodóvar acquiert une reconnaissance internationale. Récompensé par le César du meilleur film étranger en 1993, ce mélo teinté de thriller installe l’essence des films à venir: des portraits de femmes, un sens de l’esthétique ravageur, un goût pour le mélange des genres et de la transgression
S'inspirant de Carlos Saura et Bergman, Almodovar revendique son inscription dans des familles de réalisateurs comme Douglas Sirk pour le mélo et Alfred Hitchcock pour le thriller, suivant le cheminement d’autres cinéastes de la transgression comme Fassbinder qui ont trouvé dans le mélo, l’écrin idéal pour faire éclater leur imaginaire.
"Talons aiguilles comporte, bien sûr,son lot de répliques hilarantes et de scènes cultes, de séquences jubilatoires et politiquement incorrectes. "
"Ambiance électrique sur fond de refoulement. Du grand Almodovar."
"Une oeuvre passionnante où les deux facettes d'Almodovar, la brillante et la déjà plus noire sont réunies avec brio."
Dimanche 13 octobre à 18h20
Lundi 14 octobre à 14h
Talons Aiguilles (Almodovar 1991) (1h53)
avec Victoria Abril, Marisa Paredes, Miguel Bose
Après des années de séparation, une fille retrouve sa mère, célèbre chanteuse des années 1960, partie chercher la gloire au Mexique. Leurs relations passionnées et le retour de la diva sur la scène madrilène sont encore compliqués par le meurtre d’un homme aimé successivement par les deux femmes…
Comme Tout sur ma mère, une petite décennie après, ce film a marqué un cap dans l’œuvre d’Almodóvar : maîtrise du récit, équilibre entre l’humour et le mélodrame. Les « talons éloignés » du titre original sont ceux d’une mère intermittente dont la fille s’est toujours sentie privée. Leurs rapports inextricables, crime passionnel compris, donnent le meilleur du film. Une constante dans l’œuvre d’Almodóvar : les femmes sont rarement des mères ou des filles modèles.
C’est avec ce film qu’Almodóvar acquiert une reconnaissance internationale. Récompensé par le César du meilleur film étranger en 1993, ce mélo teinté de thriller installe l’essence des films à venir: des portraits de femmes, un sens de l’esthétique ravageur, un goût pour le mélange des genres et de la transgression
S'inspirant de Carlos Saura et Bergman, Almodovar revendique son inscription dans des familles de réalisateurs comme Douglas Sirk pour le mélo et Alfred Hitchcock pour le thriller, suivant le cheminement d’autres cinéastes de la transgression comme Fassbinder qui ont trouvé dans le mélo, l’écrin idéal pour faire éclater leur imaginaire.
"Talons aiguilles comporte, bien sûr,son lot de répliques hilarantes et de scènes cultes, de séquences jubilatoires et politiquement incorrectes. "
"Ambiance électrique sur fond de refoulement. Du grand Almodovar."
"Une oeuvre passionnante où les deux facettes d'Almodovar, la brillante et la déjà plus noire sont réunies avec brio."
50 ans de Easy Rider
Partage du gâteau d'anniversaire au premier étage de Véo-Muret (offert par VCM, sur réservation, cliquer ici, un clic par personne)
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