CARNAGE
De Roman Polanski
(France/Allemagne/Pologne/Espagne 2011) (1h20)
Avec Jodie Foster,
Kate Winslet,
Christoph Waltz,
John C. Reilly
THE LADY
De Luc Besson
(France 2011) (2h25)
Avec Michelle Yeoh,
David Thewlis
DONOMA
de Djinn Carrénard
(France 2011) (2h13)
avec Emilie Derou-Bernal, Sekouba Doucouré
Une enseignante débute une relation ambiguë avec le cancre de sa classe d'un lycée professionnel. Une jeune photographe solitaire décide de sortir avec le premier venu; Son chemin croise celui de Dama, qui vient de se séparer de sa compagne… Ces histoires croisées de grands adolescents avec leurs tourments, leurs emballements de coeur, leur romantisme, leur pragmatisme forment un puzzle excitant, un film énergique, sincère, sensible et libre, porté par des comédiens épatants : petit budget, grande maîtrise ! Prix Louis Delluc 2011. Rencontre/échange avec Emilie Derou-Bernal, Sekouba Doucouré, comédiens du film après la projection de samedi.
HOLLYWOO
De Florence Foresti
(France 2011) (1h47)
Avec Florence Foresti,
Jamel Debouzze,
François Damiens
ALVIN ET LES CHIPMUNKS 3
De Mike Mitchell (USA 2011) (1h30)
Nos irrésistibles écureuils, accompagnés des chipettes partent en croisière avec Dave, leur copain humain. Ils font les 400 coups au milieu des passagers jusqu'à ce qu'une grosse bêtise les projette hors du bateau. Ils échouent alors sur une île déserte : de nouvelles aventures commencent ! Bien sûr, nos rongeurs survoltés chantent, dansent, et accumulent les gags pour le plus grand plaisir des enfants de 4 à 9 ans, leur offrant un agréable moment de détente sous les cocotiers !
ON THE ICE
de Andrew Okpeaha McLean
(USA 2011) VO (1h36)
avec Josiah Patkotak,
Frank Qutuq Irelan,
Teddy Kyle Smith
LA DAME DE SHANGHAI
d’Orson Welles
(USA, 1948) VO (1h32)
avec Rita Hayworth, Orson Welles…
À Cuba, Michael, marin irlandais en quête d’un embarquement, sauve d’une agression une jeune femme, Elsa. Le mari d’Elsa, avocat célèbre, offre à Michael d’embarquer sur son yacht pour une croisière vers San Francisco. Mais Elsa et Michael s’aiment… Bien sûr, on pourrait voir dans La Dame de Shanghai le symbole d’un vrai règlement de comptes entre Orson Welles et Rita Hayworth, alors en plein divorce houleux. Certainement, on pourrait y lire toute l’amertume de l’auteur de Macbeth et de La Soif du mal envers Hollywood et son impitoyable système. Mais si le film est si beau, s’il est un des plus grands chef-d’oeuvres du film noir, c’est avant tout parce que Welles y sonde avec désinvolture et insolence vis-à-vis des lois fondamentales de la narration l’ambivalence de l’âme humaine.
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