semaine du 31 octobre au 6 novembre 2012

UN PLAN PARFAIT 

De Pascal Chaumeil 

(France 2012) (1h45)
Avec Dany Boon,
 Diane Kruger
Isabelle, très amoureuse de son compagnon, redoute de l’épouser, suite à une malédiction familiale, qui prédit que tout premier mariage finit par un divorce. Elle tente donc de séduire, épouser un parfait inconnu, pour en divorcer aussitôt. Elle s’intéresse donc à Jean-Yves Berthier, rédacteur pour le guide du Routard, qu’elle va suivre de Nairobi à Moscou… Dans la veine de « L’arnacoeur », son précédent succès,  le réalisateur signe ici  une comédie  burlesque et romantique. Inspiré par les meilleures comédies américaines, Il met en scène un couple, que tout oppose mais qui va traverser des aventures multiples et variées… Un grand moment de rire et d’évasion !





ASTERIX ET OBELIX : 
AU SERVICE DE SA MAJESTE 

De  Laurent Tirard

 (France 2012) en 2D (1h49)
Avec Gérard Depardieu,
 Edouard Baer,
Valérie Lemercier, 
Fabrice Luchini   
50 avant Jésus-Christ : César envahit un pays mystérieux, Brittania. Sa victoire est totale à l’exception d’un village, qui a bien du mal à lui résister. Les habitants inquiets envoient un émissaire nommé Jolitorax, en Gaule, auprès d’un petit village célèbre pour sa résistance opiniâtre aux Romains. Jolitorax y reçoit un accueil  chaleureux et on  lui confie un tonneau de potion magique. Astérix et Obélix sont chargés de l’escorter, flanqués du jeune Goudurix. Une pincée d’autodérision, un zeste d’humour potache, une lampée d’action, le tout saupoudré de gags, voilà un cocktail réussi pour la comédie-évènement de l’automne !

LE JOUR DES CORNEILLES 

De Jean-Christophe Dessaint

 (France 2012) (1h35)
Avec les voix de Jean Reno,
 Lorant Deutsch,
Isabelle Carré,
 Claude Chabrol
Dans la grande forêt, vit un jeune sauvageon de 10 ans, le fils Courge, élevé par son père, l’ogre. Pour eux, le monde s’arrête à la lisière de la forêt… Mais un jour, le garçon est bien obligé de s’aventurer jusqu’au village... Cette fable épique, belle comme une toile vivante, décrit une palette de sentiments avec une finesse rare dans les films d’animation ; ce récit d’apprentissage au charme particulier , adaptation réussie du splendide roman éponyme de Jean-François Beauchemin, séduira et touchera petits et grands. (à voir dès 6 ans).





LE PETIT GRUFFALO

 De Johannes Weiland et UWE Heidschötter 

(GB 2011) (43 minutes)
Avec la voix de Zabou Breitman

Son papa l’a averti : en aucun cas, le petit Gruffalo n’a le droit de se promener seul  dans les bois ! C’est bien trop dangereux, car une créature terrifiante y rode, la grande méchante souris. Mais le petit Gruffalo est curieux et un peu désobéissant.. Le papa Gruffalo, qui avait déjà conquis le coeur des spectateurs français, nous invite à découvrir ce nouveau film d’animation, charmant, tendre, qui fait un peu peur et beaucoup rire. Il est accompagné de 3 courts métrages d’animation, qui, par leur univers et leur thème, font écho à l’aventure du petit Gruffalo (à voir dès 4 ans).
tarif : 3,50€ .





CHERCHEZ HORTENSE 

De Pascal Bonitzer 

(France 2012) (1h40)
Avec Jean-Pierre Bacri, 
Kristin Scott Thomas, 
Isabelle Carré,
 Claude Rich
Damien et sa femme sont l’archétype du couple bourgeois décousu, qui se croise entre deux portes. Elle insiste auprès de lui, pour qu’il contacte son père, homme influent, qui siège au Conseil d’Etat, afin de faciliter à une jeune femme, Zorica, l’obtention de papiers. Damien a bien du mal à communiquer avec son père et à formuler sa demande. Quand par hasard, il  fait la connaissance de Zorica,  la régularisation de la situation de la jeune femme devient pour lui un combat personnel. Une comédie pleine d’humour, élégante, attachante, mordante, au rythme fluide, porté par des comédiens talentueux ! Présenté à la Mostra de Venise 2012.





WELCOME IN VIENNA
d’Axel Corti

 (Allemagne/Autriche,1982-1986) VO (2h07)
Cette fresque humaine et historique raconte, en trois actes, l’exil juif autrichien pendant la Seconde Guerre mondiale. Pour toute une génération de cinéphiles, Axel Corti, réalisateur autrichien, fut l’homme de ce film choc qui sortit en 1986. 25 ans ont passé, et voilà qu’on découvre que ce chef-d’oeuvre (prix du meilleur réalisateur à Saint-Sébastien, prix du meilleur film à Chicago et à Baden-Baden, Léopard de bronze à Locarno) n’était que le dernier opus d’une trilogie dont vous avez pu découvrir les 2 premiers volets. 




Partie 3 : 1945, à Vienne, la guerre est terminée. Freddy Wolff et Georges Adler, émigrés aux États-Unis, mais d’origine autrichienne et allemande, sont devenus soldats de l’armée américaine. Vienne est en ruine et divisée en quatre zones où le marché noir règne en maître. L’Autriche se présente comme une victime innocente du nazisme et refuse d’en prendre conscience. Les gens s’adaptent tant bien que mal au système sauf Freddy qui refuse l’hypocrisie générale…


 





















































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